
Le Centre de Recherche et d’Action pour la Paix (CERAP) vous invite à la 18ème édition de son activité dénommée « Les vendredis du CERAP » qui se tiendra dans ses locaux sis à Cocody-Mermoz le vendredi 06 mai 2022, à partir de 17h30. Cette édition sera consacrée au thème suivant : « Les sanctions de la CEDEAO contre le Mali, la Guinée et le Burkina : Quels impacts socioéconomiques ? Quelle efficacité ? ».
Depuis les crises récentes au Mali, en Guinée et au Burkina Faso, la CEDEAO a montré une volonté réelle d’influencer positivement les développements politiques et sécuritaires. Elle a infligé de lourdes sanctions économiques au Mali et menace la Guinée et le Burkina Faso de nouvelles sanctions économiques et financières si chacun de ces deux pays ne donne pas un chronogramme acceptable de transition. L’objectif de la CEDEAO est d’œuvrer pour le maintien de la paix, de la sécurité et d’une gouvernance démocratique.
Cependant, ces sanctions demeurent sources d’étonnement et d’interrogations : l’attitude de la CEDEAO est-elle vraiment comprise par les populations victimes de ses sanctions ? En quoi les sanctions favorisent-elles le retour à la démocratie telle que comprise par la CEDEAO ? Quelle est la base légale de ces sanctions ? Quel est l’impact réel de ces sanctions dans la vie quotidienne des peuples maliens ? En dehors de ces sanctions économiques et financières, serait-il possible de trouver d’autres alternatives pour restaurer la démocratie ?
Pour répondre à cette question, nous accueillerons Monsieur GNAMIEN Guillaume, Ingénieur Statisticien Economiste, Directeur de Cabinet du Président de la Commission de la CEDEAO.
Le Centre de Recherche et d’Action pour la Paix (CERAP) organisera la 17ème édition de son activité dénommée « Les vendredis du CERAP » qui se tiendra dans ses locaux sis à Cocody-Mermoz le vendredi 22 avril 2022, à partir de 17h30. Cette édition sera consacrée au thème suivant : « La responsabilité pénale des acteurs en matière de construction de logement ».
Il y a un mois à Cocody, commune d'Abidjan, un immeuble d’habitation de quatre étages s’est effondré sur ses occupants au milieu de la nuit. Six personnes sont mortes dont trois enfants. Quelques jours auparavant un autre immeuble s’était écroulé dans la commune de Treichville tuant sept personnes. Quelles seraient les causes de ces effondrements ?
Face à ce phénomène, les Abidjanais refusent d’y voir une fatalité et se posent des questions qui attendent toujours réponses : A qui la faute ? Le maître d’ouvrage ? Le maître d’œuvre ? Que prévoit la loi en pareille situation ?
Pour répondre à ces questions, nous accueillerons Monsieur DIABATE Issa (Architecte), Maitre N’DRI Claver (Avocat au barreau de Côte d’Ivoire) et Monsieur DIABATE Lanciné (Administrateur général ICCATEX International) pour un débat constructif sur ce sujet d’actualité.