🥇🎓 ACCORD-CADRE DE COOPÉRATION 🎓🥇
 
L’Université Jésuite du CERAP (Côte d'Ivoire) est heureuse de vous informer de la signature d’un accord de coopération avec l’Université LAVAL (Canada).
Cet accord porte sur :
- Des échanges d’enseignants
- Des échanges d’étudiants
- Les activités conjointes de recherche
- La participation à des séminaires
- Les échanges de documents scientifiques et d’enseignements
- Les publications conjointes
 
NB : Le CERAP, c’est plus de 150 partenariats institutionnels et nous sommes membres d’un réseau de plus de 200 universités Jésuites à travers le monde. N’hésitez pas à profiter de toutes ces opportunités en prenant part au concours d'entrée au CERAP/UJ qui se tiendra le 06 août 2022 !
 
Le Centre de Recherche et d’Action pour la Paix (CERAP) vous invite à la 20ème édition de son activité dénommée « Les vendredis du CERAP » qui se tiendra dans ses locaux sis à Cocody-Mermoz le vendredi 03 juin 2022, à partir de 17h30. Cette édition sera consacrée au thème suivant :
« La justice transitionnelle en Côte d’Ivoire : Bilan et perspectives ».
 
En effet, la Côte d’Ivoire, un pays autrefois prospère a connu une décennie de crise militaro-politique dans les années 2000. Cette crise a provoqué de nombreux morts mais aussi le déchirement du tissu social ivoirien. La division de la société ivoirienne donne lieu à l’épineuse question de la réconciliation nationale. Comment reconstruire la société ivoirienne surtout après la crise post-électorale récente de 2010 marquée par des violations systématiques et massives des droits humains ?
 
Pour répondre à cette question, le gouvernement ivoirien a mis en place dès 2011, divers mécanismes connus sous le nom de « justice transitionnelle », dont le but est de rendre justice, de réconcilier et de rétablir la démocratie. Parmi les mécanismes déployés pour atteindre cet objectif, on peut citer : la Commission Dialogue Vérité et Réconciliation (CDVR) ; la justice pénale nationale et internationale ; la Commission Nationale pour la Réconciliation et l'Indemnisation des Victimes (CONARIV) ; le Programme National de Cohésion Sociale (PNCS) ; le Désarmement, Démobilisation et Réinsertion des miliciens (DDR) ; la Commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDH) et la Réforme de Sécurité Sociale (RSS). Toutes ces instances renvoient d’emblée aux quatre piliers de la justice transitionnelle : savoir, juger, réparer et garantir la non-répétition des faits. Dix ans après, quel est le bilan de cette justice transitionnelle ? Et quelles sont les perspectives ?
 
Pour répondre à ces questions, nous accueillerons Maître KAUDJHIS-OFFOUMOU Françoise, Avocate à la Cour et Monsieur Brahima BAMBA, Expert en Gestion et Coordination des programmes, Spécialiste en Justice Transitionnelle pour un échange fructueux.
 
Vous êtes tous invités !

L’université jésuite du CERAP organisait, ce samedi 14 mai 2022, sa traditionnelle journée interculturelle au sein de ses locaux sis à Cocody Mermoz. Cette activité a vu la participation d’une centaine d’étudiants, du Père Hyacinthe LOUA (Dg du CERAP), du Père Brice BADO (Vice-président du CERAP/UJ), du Père Serge LOROUGNON (Responsable de la formation humaine) et de quelques responsables de l’Institut de Théologie de la Compagnie de Jésus (ITCJ).

Le but de cette journée était de permettre, aux étudiants, de mieux faire connaissance en vue de consolider les liens et de les amener à faire découvrir les caractéristiques culturelles des pays dont ils sont originaires (styles vestimentaires, danses, musiques, mets locaux…).

En effet, en découvrant les cultures des autres, les étudiants apprennent à se comprendre, à accepter leurs différences et par conséquence, à s’épanouir dans une ambiance conviviale et de cohésion.

Ce rendez-vous annuel, auquel le CERAP est particulièrement attaché, renvoie d’emblée à la culture du partage qui apparait comme étant le vecteur de convivialité et de solidarité dans nos villes et villages.

A cet effet, le Directeur général du CERAP, Hyacinthe LOUA, sj, au cours de son allocution, a affirmé que « la culture, c’est ce qui fait la société, c’est ce qui constitue son identité, c’est ce qui nous rassemble, c’est le rapport à l’autre. En restant convaincu que le patrimoine culturel voire la culture et ses moments d’émotion partagée contribuent efficacement à la préservation du sentiment d’appartenance. Et qu’en revanche, une culture solitaire, une culture renfermée sur elle-même, une culture réservée à certains groupes ne pourrait pas jouer le rôle d’unité. La culture, pour nous aujourd’hui, c’est plutôt celle du meilleur pour tous, une culture ambitieuse qui va au-delà de nos enfermements, de nos différences culturelles ».

Rappelant que cet événement culturel était le témoignage de l’excellente relation d’amitié et de coopération professionnelle qui unit le CERAP et l’ITCJ. Le CERAP demeure convaincu que cette journée culturelle permettra de rapprocher davantage ces deux institutions.

Rendez-vous est pris pour l'édition 2023 de la Journée Interculturelle !